Le choix des expositions est pléthorique. La qualité des expositions est variable, vraiment. Pourquoi écrire cela, partant de cet acquis que l’analyse subjective s’imprègne de son propre cheminement, orienté par principe ? Il en est ainsi pour chacun, peu importe donc ce manque d’objectivité. L’intérêt d’Arles est justement de proposer un panel d’expositions qu’il s’agit d’aller piocher au gré de ses envies. Il s’agit évidemment d’envie, de plaisir à découvrir des lieux, des mises en scène ou de se retrouver en apnée face une production photographique époustouflante dans un lieu quelconque. Et Arles 2018 propose tout cela. A vous d’être curieux, critiques, enjoués, attentifs pour enrichir son apprentissage oculaire. Je retiens ici une image issue de l’exposition de yingguang Guo pleine de poésie et d’envie a priori, et c’est déjà beaucoup.