La série Nocturnes va se compléter, évoluer. Nouvelle année, dites-vous. Oui sans doute. Mais les Nocturnes n’attendaient pas cela pour se renouveler.

Hamburg cette fois-ci, avec un soupçon d’architecture moderne de l’après guerre dans un pays qui se reconstruisait, utilisant un langage local, le toit, la brique, qui se mêle aux standards architecturaux d’alors lissant le dessin des façades, dans un urbanisme où l’espace ne manquait pas, ôde à la voiture, la vie moderne et le commerce en front des voies de circulation.