Plus que quatre jours avant la fin de cette exposition de la MEP d’un Journiac initiateur de l’art corporel. Dérangeant, source de nombreux artistes sans aucun doute, sa démarche est à contextualiser dans une époque 70 – 80 laissant tout à la fois un champ du possible large tout en provoquant plus aisément, les images datent. Au point de faire bailler ? Au fond, son mal être imprègne l’homme. Mais cela importe peu. C’est intrinsèque au personnage et à sa production où le corps participe à l’expérience dans son entièreté. Quatre jours, vous avez bien lu. Courez. Sans tomber.