Les images prennent forme. Une première appréhension avec un été suédois où Stockholm se laisse appréhender sous un soleil récurrent. Les lieux, les lumières, les morphologies urbaines, les gens, évidemment. Le travail en série va chercher à extraire des signes, symptomatiques, des lieux traversés. L’espace s’efface au profit de ceux qui l’animent, l’un et l’autre se complètent, indissociables. Les images vont s’enchainer, peu à peu. Il n’y pas d’urgence. Sans doute y a t il de l’impatience à les faire prendre vie. Ouvrons les yeux.