Il en va de certaines séries où les visages apparaissent, de face, de côté, d’autres où ils disparaissent. La proximité des prises de vue reste essentielle. Pour moi, en tout cas, pour capter ce naturel qu’il est si difficile d’accrocher dans le cas contraire où la pause organise l’image, dans une optique de naturel recherché faussement exprimé. Le visage ne fait pas tout. L’équilibre précaire de l’enchainement des gestes en un instant précis est toujours précieux. Il faut le provoquer et le trouver permet alors de basculer dans ce naturel surnaturel. Toujours et encore. De dos, cette fois-ci, l’expression de la déambulation se décline ici, en cet après midi sous un soleil nordique toujours aussi bienfaiteur. Attention, l’insouciant est suivi. Qu’il reste sur ses gardes !