Une histoire de liaisons amoureuses, de marquage de la mémoire par le lien à l’Autre qui évolue dans le temps, les photographies de guillaume de Sardes signifient avec intensité ce sujet au travers d’une série d’images personnelles et de textes décrivant avec évidence les histoires qui le lient avec celles qui furent proche de lui et qui ne l’est plus. On aime, j’aime cette évidence. Vous avez encore le temps pour découvrir cette exposition à la MEP. On aime, j’aime évidemment. Jusqu’au 20 mai  2018, vous avez le temps d’aimer.