Le temps passe si vite. La série des déplacements a pris forme. Proximité, intimité meurtrie, isolement et repli sur soi, l’automne arrive avec ses feuilles qui envahissent doucettement les trottoirs.Le froid n’est pas encore là. Le sous-sol urbain n’est pas atteint par cela, inerte aux soubresauts de surface.  Paris cette fois-ci où le métro charrie des foules presque calmes, canalisées par leur inertie se déployant dans les couloirs sans fin des souterrains parisiens.