Le temps est élastique. Que l’on en ait encore, pas assez, plus du tout, trop, suffisamment, la perception de son effacement varie. Il en va de même pour ce jour où la série « De l’après » se doit d’être renouvelée. Il est temps, tout simplement. Il ne reste plus qu’à rendre publiques ces images restées jusqu’alors cachées. Elles arrivent, ouvrez les yeux. Incessamment sous peu. En attendant, Madrid sous le soleil et sous l’oeil d’un curieux.