A l’aune d’un choix cornélien, le temps de la réflexion se déploie, partout, à chaque instant, dans chaque conversation. Fin de second round qui se rapproche à grands pas sachant qu’il sera suivi de deux autres rounds tout aussi primordiaux pour les premiers temps de ce nouveau temps souhaité où le peuple français a signifié sa volonté de nettoyer, balayer la poussière politique emmagasinée depuis fort longtemps. Au-delà de l’interrogation immédiate sur la capacité à pouvoir réellement empêcher à cette poussière de se redéposer, un choix, triple, est ouvert. L’une, l’un ou le ni l’un ni l’autre. Ceux qui sont persuadés iront au plus rapide, facilement. Ceux qui hésitent sur l’élu de leur contrecoeur ont deux options possibles : Le vote pour éviter l’Autre, même si les idées ne sont pas partagées. Le vote pour le moins pire, même à reculons car toutes les idées ne sont pas partagées. De là à se mettre à genou, il y a une marche qu’il ne va pas s’agir de sauter. Quelque soit le résultat.