En passant. Des plans de contemplations en successions. Celui, filmé, fixant la caméra pour offrir son visage et un discours à celui qui filme, lui même offrant à voir son film en projection. Les regardeurs se projettent à leur tour sur eux-mêmes au travers du discours porté par cet adolescent amstellodamois. Plus loin, derrière, ouvrez vous les yeux. Une regardeuse se cache. Ed van der Elsken au Jeu de Paume / Paris. Il ne suffit pas de lire l’article. Il faut aller voir. 24 septembre 2017, 21.00 : vous aurez les joues rosies de confusion si vous n’avez pas pris la peine. D’y aller.