Il en est des archivistes de l’humain. Kazma en fait donc partie, parcourant le monde sur la trace de l’humain et son activité. Il référence les instants où l’homme transforme le monde. Production de vidéos rentrant en vibrations les unes les autres dans un souci esthétique, cela saute aux yeux. Sa perception est à la fois anthropologique, historique figeant le geste dans l’éternel de l’image animée et esthétique, la prise de vue n’est pas faite au hasard dans ces plans fixes dénués de tout inutile. C’est à voir, sans aucun doute. Vous avez le temps d’attendre, un peu. 21 janvier 2018 sonnera le glas de cette exposition.